#Nicolas Canniccioni
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How to Have Sex (2023) dir. Molly Manning
#how to have s*x#molly manning#cinematography#nicolas canniccioni#british cinema#mia mcKenna-bruce#2020s
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How to Have Sex, Molly Manning Walker (2023)
#Molly Manning Walker#Mia McKenna Bruce#Shaun Thomas#Lara Peake#Enva Lewis#Samuel Bottomley#Laura Ambler#Nicolas Canniccioni#James Jacob#Fin Oates#2023#woman director
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How To Have Sex (Molly Manning Walker, 2023)
cinematography: Nicolas Canniccioni
#mia mckenna bruce#lara peake#enva lewis#how to have sex#molly manning walker#female filmmakers#female film directors#female directors#female directed films#women in film#female screenwriters#british cinema#mubi
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How to Have Sex, 2023.
Dir. & Writ. Molly Manning Walker | DOP Nicolas Canniccioni
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How to Have Sex: Review
The least Googlable film ever
From the smudged fake tan to the early morning puking rituals, you know what you’re getting with a party island holiday. But what often isn’t talked about is the undercurrent of peer pressure and uncomfortable sexual encounters lurking just beneath the surface. From first-time director Molly Manning Walker (cinematographer of the wonderful Scrapper), How to Have Sex artfully explores the seedy side of party holidays, with scenes that you’ll think about for days to come.
Like with any holiday, our protagonists start the film in super high spirits. We follow British teenager Tara (Mia McKenna-Bruce), who joins best friends Skye (Lara Peake, the loud one), and Em (Enva Lewis, the compassionate one) as they head to Malia to party after their exams. While they all give it large about the sexual adventures they’ll get up to (if they can convince people they aren’t 16), the pressure is on for Tara, who is yet to lose her virginity.
Within seconds of this coming-of-age film, what stands out about How to Have Sex is how true to life everything feels. This is an environment that feels instantly recognisable - you can practically smell the sweat and sambucas. Drawing on her own holiday experiences, Manning Walker’s script uses dialogue that feels plucked straight from the Malia strip (right down to the girls’ love of cheesy chips), resulting in a convincing portrayal of female friendships. It helps that the cast play off each other so naturally, with a giddy energy and humour that might make you long for non-stop days of partying with your besties.
Well, almost. For while the opening revels in the joys of girls’ holidays, the second half takes a darker turn. As the group fall in with a trio of flirty lads next door, this gives rise to petty jealousies, peer pressure, and a few very triggering sexual encounters. It might all be vibrant visuals and lively party anthems, but cinematographer Nicolas Canniccioni frames the night scenes like a nightmare in neon, and you feel the sense of dread when Tara ends up wandering the lurid nightclubs alone.
When a pivotal moment comes at the halfway point, Manning Walker doesn’t shy away from the traumatising nature of sexual assault, and does a sensitive job of exploring the complex nature of consent. She’s aided by a marvelous debut performance from McKenna-Bruce, who manages to be both bubbly and full of life, while displaying a devastating sense of vulnerability. You might think you know what you’re getting from this party island holiday, but you’ll walk away with plenty more food for thought.
With star-making debuts from Manning Walker and McKenna-Bruce, How to Have Sex is a remarkable and sobering film about the meaning of consent. You’ll never think of party holidays the same way again.
★★★★
#how to have sex#4 stars#review#scrapper#molly manning walker#lara peake#enva lewis#mia mckenna bruce
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Genèse (2018) - Nicolas Canniccioni
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J'ai tué ma mère /I killed my mother(2009)
Director : Xavier Dolan
Cinematography :Stéphanie Weber Biron & Nicolas Canniccioni
#i killed my mother#xavier dolan#cinema#film stills#canadian films#lgbtq film#french cinema#cannes film festival
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IL PLEUVAIT DES OISEAUX en tête des nominations du Gala Québec Cinéma 2020
En direct du salon de Guillaume Lambert, les nominations du Gala Québec Cinéma (qui ne fera pas l’objet d’un rassemblement télévisuel cette année, confinement oblige) ont été dévoilées cet après-midi.
En cette année dominée par les réalisatrices, 6 des meilleurs films sont réalisés par des femmes et 3 femmes sont en lice pour l’Iris de la Meilleure réalisation.
On parle bien sûr d’Antigone de Sophie Deraspe (Meilleur film, Meilleure réalisation, Meilleur scénario), La femme de mon frère de Monia Chokri (Meilleur film, Meilleure réalisation), Kuessipan de Myriam Verreault (Meilleur film, Meilleure réalisation, Meilleur scénario), Jeune Juliette d’Anne Émond (Meilleur film, Meilleur scénario), Il pleuvait des oiseaux et Louise Archambault (Meilleur film, Meilleur scénario, et 13 nominations au total, le record cette année), et du plus inattendu Fabuleuses de Mélanie Charbonneau (Meilleur film).
Ces films réalisés par des femmes sont rejoints dans les catégories de pointe par les « films de gars » Mafia Inc de Podz (Meilleur film), Sympathie pour le diable de Guillaume de Fontenay (Meilleure réalisation, Meilleur scénario), et Le vingtième siècle de Matthew Rankin (Meilleur premier film, Meilleure réalisation).
Un grand oublié : Xavier Dolan, qui a lancé deux longs métrages l’an dernier. On ne s’attendait pas à un couronnement du mal-aimé The Death and Life of John F. Donovan, mais l’excellent Matthias & Maxime aurait mérité plus d’honneurs. Il est quand même en nomination dans les catégories Meilleure interprétation féminine dans un rôle de soutien (Micheline Bernard), Meilleure interprétation masculine dans un rôle de soutien (Pier-Luc Funk), Meilleure direction de la photographie (André Turpin), Meilleur montage (Xavier Dolan), Meilleure musique originale (Jean-Michel Blais) et Meilleur maquillage (Erik Gosselin, Edwina Voda).
Du côté des interprètes, je suis soulagé que mon long métrage québécois préféré depuis longtemps, Le rire de Martin Laroche, ait été au moins reconnu pour les brillantes performances de Léane Labrèche-Dor (Premier rôle féminin) et Micheline Lanctôt (Rôle de soutien féminin).
Il faut aussi souligner les deux nominations comme acteur de Robin Aubert, pour Jeune Juliette (Premier rôle masculin) et Merci pour tout (Rôle de soutien masculin).
Et une pensée pour Andrée Lachapelle, qui nous a quittés récemment, nommée comme Meilleure actrice pour Il pleuvait des oiseaux.
Parlant d’Il pleuvait des oiseaux , félicitations à Will Driving West, un de mes groupes préférés, parmi les finalistes de la catégorie Meilleure musique originale.
Aussi, je suis très heureux pour l’extraordinaire Je finirai en prison d’Alexandre Dostie, en nomination pour l’Iris du meilleur court métrage.
LISTE COMPLÈTE DES NOMINATIONS
MEILLEUR FILM
Antigone - ACPAV - Marc Daigle
Fabuleuses - GO Films - Nicole Robert
La femme de mon frère - Metafilms - Sylvain Corbeil, Nancy Grant
Il pleuvait des oiseaux - Les Films Outsiders - Ginette Petit
Jeune Juliette - Metafilms - Sylvain Corbeil
Kuessipan - Max Films Média - Félize Frappier
Mafia Inc - Attraction Images - Antonello Cozzolino | Caramel Films - Valérie D'Auteuil, André Rouleau
MEILLEUR PREMIER FILM
Mad Dog Labine - Jonathan Beaulieu-Cyr, Renaud Lessard - 1er scénario de Jonathan Beaulieu-Cyr, Renaud Lessard
Sympathie pour le diable - Guillaume de Fontenay - 1er scénario de Guillaume de Fontenay, Guillaume Vigneault
Le vingtième siècle - Matthew Rankin - 1er scénario de Matthew Rankin
MEILLEURE RÉALISATION
Monia Chokri - La femme de mon frère
Guillaume de Fontenay - Sympathie pour le diable
Sophie Deraspe - Antigone
Matthew Rankin - Le vingtième siècle
Myriam Verreault - Kuessipan
MEILLEUR SCÉNARIO
Louise Archambault - Il pleuvait des oiseaux
Jean Barbe, Guillaume de Fontenay, Guillaume Vigneault - Sympathie pour le diable
Sophie Deraspe - Antigone
Anne Émond - Jeune Juliette
Naomi Fontaine, Myriam Verreault - Kuessipan
MEILLEURE INTERPRÉTATION FÉMININE | PREMIER RÔLE
Anne-Élisabeth Bossé (Sophia) - La femme de mon frère
Anne Dorval (Isabelle Brodeur) - 14 jours 12 nuits
Léane Labrèche-Dor (Valérie) - Le rire
Andrée Lachapelle (Gertrude | Marie-Desneige) - Il pleuvait des oiseaux
Noémie O'Farrell (Laurie) - Fabuleuses
MEILLEURE INTERPRÉTATION MASCULINE | PREMIER RÔLE
Robin Aubert (Bernard) - Jeune Juliette
Marc-André Grondin (Vincent «Vince »Gamache) - Mafia Inc
Patrick Hivon (Karim) - La femme de mon frère
Niels Schneider (Paul Marchand) - Sympathie pour le diable
Gilbert Sicotte (Charlie) - Il pleuvait des oiseaux
MEILLEURE INTERPRÉTATION FÉMININE | RÔLE DE SOUTIEN
Micheline Bernard (Francine) - Matthias & Maxime
Juliette Gosselin (Clara Diamond) - Fabuleuses
Micheline Lanctôt (Jeanne) - Le rire
Eve Landry (Rafaëlle [Raf]) - Il pleuvait des oiseaux
Geneviève Schmidt (France Gauthier) - Menteur
MEILLEURE INTERPRÉTATION MASCULINE | RÔLE DE SOUTIEN
Robin Aubert (Réjean) - Merci pour tout
Sergio Castellitto (Francesco « Franck » Paternò) - Mafia Inc
Pier-Luc Funk (Rivette) - Matthias & Maxime
Sasson Gabai (Hichem) - La femme de mon frère
Rémy Girard (Tom) - Il pleuvait des oiseaux
RÉVÉLATION DE L'ANNÉE
Catherine Chabot (Chloé Therrien) - Menteur
Sharon Fontaine-Ishpatao (Mikuan Vollant [16-21ans]) - Kuessipan
Alexane Jamieson (Juliette) - Jeune Juliette
Nahéma Ricci (Antigone) - Antigone
Lilou Roy-Lanouette (Yanna) - Jouliks
MEILLEURE DISTRIBUTION DES RÔLES
Jacinthe Beaudet, Tobie Fraser, Geneviève Hébert, Myriam Verreault - Kuessipan
Nathalie Boutrie (Casting NB) - Jeune Juliette
Nathalie Boutrie (Casting NB) | Francis Cantin, Bruno Rosato (Casting Cantin Rosato) - Mafia Inc
Sophie Deraspe, Isabelle Couture | Pierre Pageau, Daniel Poisson (Gros Plan) - Antigone
Karel Quinn (Casting Karel Quinn) | Lucie Robitaille (Casting Lucie Robitaille) - Il pleuvait des oiseaux
MEILLEURE DIRECTION ARTISTIQUE
Éric Barbeau - La femme de mon frère
Dany Boivin - Le vingtième siècle
Marie-Claude Gosselin, Jean Lebourdais - Il pleuvait des oiseaux
Sylvain Lemaitre - Jeune Juliette
David Pelletier - Mafia Inc
MEILLEURE DIRECTION DE LA PHOTOGRAPHIE
Yves Bélanger - 14 jours 12 nuits
Nicolas Canniccioni - Kuessipan
Josée Deshaies - La femme de mon frère
Mathieu Laverdière - Il pleuvait des oiseaux
André Turpin - Matthias & Maxime
MEILLEUR SON
Claude Beaugrand, Michel B. Bordeleau, Bernard Gariépy Strobl, Claude La Haye, Raymond Legault - The Song of Names
Sylvain Bellemare, Jocelyn Caron, Bernard Gariépy Strobl - Sympathie pour le diable
Serge Boivin, Olivier Calvert, Samuel Gagnon-Thibodeau - Ville Neuve
Luc Boudrias, Sylvain Brassard, Jean Camden - Mafia Inc
Bernard Gariépy Strobl, Sacha Ratcliffe, Lynne Trépanier - Le vingtième siècle
MEILLEUR MONTAGE
Geoffrey Boulangé, Sophie Deraspe - Antigone
Monia Chokri, Justine Gauthier - La femme de mon frère
Xavier Dolan - Matthias & Maxime
Myriam Poirier - 14 jours 12 nuits
Matthew Rankin - Le vingtième siècle
MEILLEURS EFFETS VISUELS
Alchimie 24 - Alain Lachance, Jean-Pierre Riverin - The Song of Names
Mikros - Véronique Dessard, Philippe Frère - The Hummingbird Project
Oblique FX - Benoit Brière, Louis-Philippe Clavet, Kinga Sabela - Sympathie pour le diable
MEILLEURE MUSIQUE ORIGINALE
Andréa Bélanger, David Ratté (Will Driving West) - Il pleuvait des oiseaux
Jean-Michel Blais - Matthias & Maxime
Jean Massicotte, Jad Orphée Chami - Antigone
Howard Shore - The Song of Names
Peter Venne - Le vingtième siècle
MEILLEURS COSTUMES
Valérie Lévesque - Mafia Inc
Ginette Magny - Jouliks
Patricia McNeil - La femme de mon frère
Patricia McNeil - Le vingtième siècle
Caroline Poirier - Il pleuvait des oiseaux
MEILLEUR MAQUILLAGE
Jeanne Lafond - Jouliks
Léonie Lévesque-Robert - Fabuleuses
Marlène Rouleau - Mafia Inc
Adriana Verbert - Le vingtième siècle
Erik Gosselin, Edwina Voda - Matthias & Maxime
MEILLEURE COIFFURE
Michelle Côté - The Song of Names
Stéphanie Deflandre - Mafia Inc
Nermin Grbic - Le vingtième siècle
Daniel Jacob - Fabuleuses
Martin Lapointe - Il pleuvait des oiseaux
MEILLEUR FILM DOCUMENTAIRE
Alexandre le fou - Pedro Pires | Pedro Pires
Mad Dog & The Butcher - Les derniers vilains - Thomas Rinfret | Divertissement Breakout - Vito Balenzano, Bruno Rosato | Vélocité International - Valérie Bissonnette
Soleils noirs - Julien Elie | Cinéma Belmopán - Julien Elie
Xalko - Hind Benchekroun, Sami Mermer | Les films de la tortue - Hind Benchekroun | Sami Mermer
Ziva Postec. La monteuse derrière le film Shoah - Catherine Hébert | Les Films Camera Oscura - Christine Falco
MEILLEURE DIRECTION DE LA PHOTOGRAPHIE | FILM DOCUMENTAIRE
Dominic Dorval, Vincent Masse, Thomas Rinfret, Richard Tremblay - Mad Dog & The Butcher - Les derniers vilains
Sami Mermer - Xalko
François Messier-Rheault, Ernesto Pardo - Soleils noirs
Pedro Pires - Alexandre le fou
Pedro Ruiz - Sur les toits Havane
MEILLEUR MONTAGE | FILM DOCUMENTAIRE
Benoit Côté, Thomas Rinfret - Mad Dog & The Butcher - Les derniers vilains
Sylvia De Angelis, Sophie Leblond, Pedro Pires - Alexandre le fou
Aube Foglia - Soleils noirs
Annie Jean - Ziva Postec. La monteuse derrière le film Shoah
Natalie Lamoureux - Une femme, ma mère
MEILLEUR SON | FILM DOCUMENTAIRE
Wolfgang Beck, Mustafa Bölükbasi, Kerem Çakir, Huseyin Can Erol, Sonat Hançer, Eric Lebœuf, Bruno Pucella, Ibrahim Tarhan, Yener Yalçin, Tolga Yelekçi - Échos d'Istanbul
Luc Boudrias, Patrice LeBlanc - Une femme, ma mère
Sylvain Brassard, Benoit Leduc, Gaël Poisson Lemay - Alexandre le fou
Shelley Craig, Marie-Pierre Grenier, Luc Léger, Geoffrey Mitchell - La fin des terres
René Portillo - Sur les toits Havane
MEILLEUR COURT MÉTRAGE | FICTION
Je finirai en prison - Alexandre Dostie | Art & Essai - Hany Ouichou
Jojo - Guillaume Laurin | Couronne Nord - Fanny Forest, Julie Groleau, Guillaume Laurin
Juste moi et toi - Sandrine Brodeur-Desrosiers | Les Films Camera Oscura - Johannie Deschambault
SDR - Alexa-Jeanne Dubé | À Deux - Emili Mercier
Une bombe au cœur - Rémi St-Michel | Christal Films Productions - Christian Larouche | Panache Films - Sébastien Létourneau
MEILLEUR COURT MÉTRAGE | ANIMATION
Le cortège - Pascal Blanchet, Rodolphe Saint-Gelais | Office national du film du Canada - Julie Roy
Le mal du siècle - Catherine Lepage | Office national du film du Canada - Marc Bertrand
Organic - Steven Woloshen | Steven Woloshen
Physique de la tristesse - Theodore Ushev | Office national du film du Canada - Marc Bertrand
Les vêtements - Caroline Blais | Caroline Blais
FILM S'ÉTANT LE PLUS ILLUSTRÉ À L'EXTÉRIEUR DU QUÉBEC
Antigone - Sophie Deraspe | ACPAV - Marc Daigle | Maison 4:3
La femme de mon frère - Monia Chokri | Metafilms - Sylvain Corbeil, Nancy Grant | Les Films Séville
Genèse - Philippe Lesage | Unité centrale - Galilé Marion-Gauvin | FunFilm Distribution
Kuessipan - Myriam Verreault | Max Films Média - Félize Frappier | Filmoption International
Répertoire des villes disparues - Denis Côté | Couzin Films - Ziad Touma | Maison 4:3
PRIX DU PUBLIC
La femme de mon frère - Monia Chokri | Les Films Séville | Metafilms - Sylvain Corbeil, Nancy Grant
Il pleuvait des oiseaux - Louise Archambault | MK2 | Mile End | Les Films Outsiders - Ginette Petit
Mafia Inc - Daniel Grou (Podz) | Les Films Séville | Attraction Images - Antonello Cozzolino | Caramel Films - Valérie D'Auteuil, André Rouleau
Menteur - Émile Gaudreault | Les Films Séville | Les Films du Lac - Émile Gaudreault | Cinémaginaire - Denise Robert
Merci pour tout - Louise Archambault | Les Films Séville | Amalga - André Dupuy
IRIS HOMMAGE
Alanis Obomsawin
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i killed my mother (2009)
director: xavier dolan
DoPs: stéphanie weber biron & nicolas canniccioni
imdb rating: 7.5
#i killed my mother#00s#xavier dolan#stéphanie weber biron#nicolas canniccioni#7.5#anne dorval#suzanne clément#françois arnaud#j'ai tué ma mère
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J’ai tué ma mère (2009, Canada) Cinematographers: Stéphanie Weber Biron and Nicolas Canniccioni Director: Xavier Dolan
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Gerontophilia (2013) dir. Bruce LaBruce
#gerontophilia#bruce labruce#cinematography#nicolas canniccioni#canadian cinema#pier-gabriel lajoie#montréal#quebec#film still#movies#aesthetic#skyline#city lights#cityscape#winter#snow
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Genèse, Philippe Lesage (2018)
#Philippe Lesage#Noée Abita#Théodore Pellerin#Mylène Mackay#Pier Luc Funk#Emilie Bierre#Paul Ahmarani#Édouard Tremblay Grenier#Antoine Marchand Gagnon#Nicolas Canniccioni#Mathieu Bouchard Malo#2018
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Prix Écrans Canadiens : LES AFFAMÉS de Robin Aubert décroche cinq nominations
Les nominations des Prix Écrans canadiens viennent d’être annoncées et Les Affamés se retrouve dans cinq catégories : meilleur film, réalisation (Robin Aubert), maquillages (Érik Gosselin, Marie-France Guy), musique originale (Pierre-Philippe Côté) et interprétation féminine dans un rôle de soutien (Brigitte Poupart).
Hochelaga, Terre des Âmes mène la course avec ses huit nominations, dans les catégories de la direction artistique (François Séguin), des images (Nicolas Bolduc), des costumes (Mario Davignon), des maquillages (Kathryn Casault), de la musique originale (Terry Riley, Gyan Riley), du son d'ensemble (Claude La Haye, Bernard Gariépy Strobl), du montage sonore (Claude Beaugrand), et des effets visuels (Alain Lachance, Yann Jouannic, Hugo Léveillé, Nadège Bozetti, Antonin Messier-Turcotte, Thibault Deloof, Francis Bernard).
Sept nominations pour La petite fille qui aimait trop les allumettes : meilleur film ainsi qu’en direction artistique (Marjorie Rhéaume), en images (Nicolas Canniccioni), en effets visuels (Marc Hall, Jonathan Cyr, Emmanuel Bazin, Clément Natiez, Emmanuelle Gill), en adaptation (Simon Lavoie) et en interprétation masculine et féminine dans un premier rôle (Antoine L'Écuyer, Marine Johnson).
Avec six nominations, C'est le cœur qui meurt en dernier se retrouve dans les catégories du meilleur film, de réalisation (Alexis Durand-Brault), de montage (Louis-Philippe Rathé), d'adaptation et d'interprétation masculine dans un premier rôle (Gabriel Sabourin), et d'interprétation féminine dans un premier rôle (Denise Filiatrault).
Les rois mongols obtient aussi six nominations, dans les catégories de direction artistique (Guillaume Couture), de costumes (Brigitte Desroches), de musique originale (Viviane Audet, Robin-Joël Cool, Alexis Martin), de son d'ensemble (Pierre Bertrand, Stéphane Bergeron, Shaun-Nicholas Gallagher, Maxime Potvin), d'adaptation (Nicole Bélanger) et d'interprétation féminine dans un rôle de soutien (Clare Coulter).
All You Can Eat Buddha se retrouve dans les catégories de réalisation (Ian Lagarde), de costumes (Gabrielle Tougas-Fréchette), de maquillages (Bruno Gatien), de son d'ensemble et de montage sonore (Sylvain Bellemare), et d'interprétation masculine dans un rôle de soutien (Sylvio Arriola).
Nous sommes les autres se démarque dans quatre catégories, soit en images (Mathieu Laverdière), en costumes (Julie Bécotte), en effets visuels (Jonathan Piché Delorme, Fabienne Mouillac, Alain Lachance, Caroline Guagliardo, Alexandre Tremblay, Thibault Deloof, Benoit Gagnon), et en interprétation masculine dans un premier rôle (Émile Proulx-Cloutier).
Meilleur film
Ava - Kiarash Anvari, Sadaf Foroughi The Breadwinner - Andrew Rosen, Anthony Leo, Paul Young, Tomm Moore, Stéphan Roelants C’est le coeur qui meurt en dernier - Richard Lalonde La petite fille qui aimait trop les allumettes - Marcel Giroux Maudie - Bob Cooper, Mary Young Leckie, Mary Sexton, Susan Mullen Never Steady, Never Still - James Brown, Tyler Hagan Les Affamés - Stéphanie Morissette
Meilleure réalisation
Ian Lagarde - All You Can Eat Buddha Sadaf Foroughi - Ava Alexis Durand Brault - C’est le coeur qui meurt en dernier Aisling Walsh - Maudie Robin Aubert - Les Affamés Meilleure adaptation Anita Doron - The Breadwinner Nicole Bélanger - Les rois mongols Gabriel Sabourin - C’est le coeur qui meurt en dernier Simon Lavoie - La petite fille qui aimait trop les allumettes Susan Coyne - The Man Who Invented Christmas Meilleur scénario Josh Epstein, Kyle Rideout - Adventures in Public School Sadaf Foroughi - Ava Sarah Kolasky, Adam Garnet Jones - Great Great Great Sherry White - Maudie Kathleen Hepburn - Never Steady, Never Still
Interprétation masculine dans un premier rôle Nabil Rajo - Boost Gabriel Sabourin - C’est le coeur qui meurt en dernier Antoine L'Écuyer - La petite fille qui aimait trop les allumettes Tzi Ma - Meditation Park Émile Proulx-Cloutier - Nous sommes les autres
Interprétation masculine dans un rôle de soutien Sylvio Arriola - All You Can Eat Buddha Jahmil French - Boost Sladen Peltier - Indian Horse Natar Ungalaq - Iqaluit Ethan Hawke - Maudie
Interprétation féminine dans un premier rôle Mahour Jabbari - Ava Denise Filiatrault - C’est le coeur qui meurt en dernier Marine Johnson - La petite fille qui aimait trop les allumettes Sally Hawkins - Maudie Shirley Henderson - Never Steady, Never Still
Interprétation féminine dans un rôle de soutien Bahar Nouhian - Ava Oluniké Adeliyi - Boost Clare Coulter - Les rois mongols Lucinda Armstrong Hall - Porcupine Lake Brigitte Poupart - Les Affamés
Meilleure direction artistique Siamak Karinejad - Ava Guillaume Couture - Les rois mongols François Séguin - Hochelaga, Terre des Âmes Marjorie Rhéaume - La petite fille qui aimait trop les allumettes Sophie Jarvis, Elizabeth Cairns - Never Steady, Never Still
Meilleures images Sina Kermanizadeh - Ava Nicolas Bolduc - Hochelaga, Terre des Âmes Nicolas Canniccioni - La petite fille qui aimait trop les allumettes Norm Li - Never Steady, Never Still Mathieu Laverdière - Nous sommes les autres
Meilleurs costumes Gabrielle Tougas-Fréchette - All You Can Eat Buddha Brigitte Desroches - Les rois mongols Mario Davignon - Hochelaga, Terre des Âmes Trysha Bakker - Maudie Julie Bécotte - Nous sommes les autres
Meilleur montage Kiarash Anvari - Ava Darragh Byrne - The Breadwinner Louis-Philippe Rathé - C’est le coeur qui meurt en dernier Stephen O'Connell - Maudie Simone Smith - Never Steady, Never Still
Meilleurs maquillages Bruno Gatien - All You Can Eat Buddha Marlène Rouleau - Bon Cop Bad Cop 2 Kathryn Casault - Hochelaga, Terre des Âmes Sonia Dolan - The Man Who Invented Christmas Érik Gosselin, Marie-France Guy - Les Affamés
Meilleure musique originale Mychael Danna, Jeff Danna - The Breadwinner Viviane Audet, Robin-Joël Cool, Alexis Martin - Les rois mongols Terry Riley, Gyan Riley - Hochelaga, Terre des Âmes Ben Fox - Never Steady, Never Still Pierre-Philippe Côté - Les Affamés
Meilleure chanson originale Joey Sherrett, Chris Gordon, Nathaniel Huskinson - Boost - "CTS Thief" Qais Essar, Joshua Hill - The Breadwinner - "The Crown Sleeps" Dani Bailey - Hunting Pignut – "Rid The Dark"
Meilleur son d'ensemble Sylvain Bellemare - All You Can Eat Buddha Philippe Attié - Boost Pierre Bertrand, Stéphane Bergeron, Shaun-Nicholas Gallagher, Maxime Potvin - Les rois mongols Claude La Haye, Bernard Gariépy Strobl - Hochelaga, Terre des Âmes Matt Drake, Nate Evans, Christopher O'Brien - Never Steady, Never Still
Meilleur montage sonore Sylvain Bellemare - All You Can Eat Buddha Marie-Claude Gagné - Bon Cop Bad Cop 2 Nelson Ferreira, John Elliot, J.R. Fountain, Dashen Naidoo, Tyler Whitham - The Breadwinner Christian Rivest, Antoine Morin, Thibaud Quinchon, Guy Pelletier, Guy Francoeur - Goon: Last of the Enforcers Claude Beaugrand - Hochelaga, Terre des Âmes
Meilleurs effets visuels Marc Hall - Le Cyclotron Alain Lachance, Yann Jouannic, Hugo Léveillé, Nadège Bozetti, Antonin Messier-Turcotte, Thibault Deloof, Francis Bernard - Hochelaga, Terre des Âmes Marc Hall, Jonathan Cyr, Emmanuel Bazin, Clément Natiez, Emmanuelle Gill - La petite fille qui aimait trop les allumettes Greg Behrens, Brendan Taylor, Jasmine Scott, Martin O'Brien - The Man Who Invented Christmas Jonathan Piché Delorme, Fabienne Mouillac, Alain Lachance, Caroline Guagliardo, Alexandre Tremblay, Thibault Deloof, Benoit Gagnon - Nous sommes les autres
Meilleur long métrage documentaire Manic - Kalina Bertin, Marina Serrao, Bob Moore, Mila Aung-Thwin, Daniel Cross Sur la lune de nickel - Christine Falco, François Jacob, Vuk Stojanovic Resurrecting Hassan - Carlo Guillermo Proto, Roxanne Sayegh, Pablo Villegas, Maria Paz Gonzalez Rumble: The Indians Who Rocked the World - Catherine Bainbridge, Christina Fon, Linda Ludwick, Lisa Roth, Stevie Salas, Tim Johnson, Diana Holtzberg, Jan Rofekamp, Ernest Webb Unarmed Verses - Charles Officer, Lea Marin
Meilleures images dans un long métrage documentaire Vuk Stojanovic, François Jacob, Ilya Zima - Sur la lune de nickel Duraid Munajim - My Enemy, My Brother Carlo Guillermo Proto - Resurrecting Hassan Alfonso Maiorana - Rumble: The Indians Who Rocked the World Mike McLaughlin - Unarmed Verses
Meilleur montage dans un long métrage documentaire Roland Schlimme - Long Time Running Anouk Deschênes - Manic François Jacob, Jéricho Jeudy - Sur la lune de nickel Benjamin Duffield, Jeremiah Hayes - Rumble: The Indians Who Rocked the World Frank Cassano - Sled Dogs
Meilleur court métrage documentaire Babe, I Hate To Go - Andrew Moir Take a Walk on The Wildside - Lisa Rideout, Lauren Grant, Sasha Fisher Three Thousand - Asinnajaq, Kat Baulu
Meilleur court métrage dramatique La course navette - Maxime Aubert, Audrey D. Laroche Fluffy - Lee Filipovski Garage de soir - Daniel Daigle, Aurélie Breton Tout simplement - Raphaël Ouellet, Annick Blanc Pre-Drink - Marc-Antoine Lemire, Maria Gracia Turgeon
Meilleur court métrage d’animation DAM! The Story of Kit the Beaver - Kjell Boersma, Josh Clavir Fox And The Whale - Robin Joseph Hedgehog’s Home - Eva Cvijanović, Vanja Andrijević, Jelena Popović Manivald - Chintis Lundgren, Draško Ivezić, Jelena Popović The Tesla World Light - Matthew Rankin, Julie Roy
Prix Découverte John-Dunning Black Cop - Cory Bowles, Aaron Horton The Devout - Connor Gaston, Amanda Verhagen Wexford Plaza - Joyce Wong, Matt Greyson, Harry Cherniak
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GENÈSE de Philippe Lesage : Les amours immatures
Ayant marqué les esprits dès Les Démons en 2015, Philippe Lesage s’impose encore plus comme l’un des meilleurs cinéastes québécois de sa génération avec Genèse, film qui a remporté la Louve d’or au Festival du nouveau cinéma l’automne dernier. Lesage poursuit dans le sillon de son premier long métrage de fiction en livrant un autre portrait cru, voire cruel de la jeunesse, qui est toutefois traversé de nombreux moments de beauté, d’humour et de musique. Concernant ce dernier élément, il faut souligner à quel point la trame sonore est extraordinaire, rehaussant chaque séquence où l’on entend des chansons de Tops, Aldous Harding, Le Tigre, John Maus ou The Trashmen, sans compter les mémorables airs entonnés par certains personnages à l’écran.
Au coeur de ce récit initiatique racontant les amours souvent difficiles de divers adolescents, on retrouve le phénoménal Théodore Pellerin, toujours aussi allumé, ainsi que la particulièrement charismatique Noée Abita dans les rôles centraux. Paul Ahmarani, Pier-Luc Funk et Maxime Dumontier se démarquent aussi au sein d’une vaste distribution aux multiples visages familiers. Puis lors des 30 dernières minutes, Édouard Tremblay-Grenier et Émilie Bierre entrent en scène de façon inattendue, comme un véritable vent de fraîcheur.
L’écriture de Lesage est intelligente, inspirée, parfois un peu appuyée. Et comme l’avait démontré Les Démons, c’est un réalisateur d’une grande rigueur. Avec son directeur photo Nicolas Canniccioni, il semble toujours placer la caméra au bon endroit, sous la bonne lumière. Le montage de Mathieu Bouchard-Malo est aussi parfaitement calibré, l’enchaînement des scènes étant toujours fluide.
Genèse est une oeuvre dense et étonnante, qui en cette année où le cinéma québécois s’intéresse beaucoup à la jeunesse, aborde cette période de l’existence d’un angle relativement inusité. J’ai déjà hâte de le revoir.
Genèse prendra l’affiche ce vendredi 15 mars.
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Rétrospective Jean-François Caissy : LA BELLE VISITE
En 2010, j’ai eu la chance de m’entretenir Jean-François Caissy à propos de son documentaire La belle visite, qui fera l’objet d’une projection spéciale en présence du réalisateur ce mercredi 16 janvier à 18 h 30 au Cinéma Moderne, à l’occasion de la sortie en salle de son nouveau film Premières armes ce vendredi.
Voici le texte que j’avais écrit à l’époque :
LA BELLE VISITE : LA LENTEUR ALENTOUR
Avec son documentaire La belle visite , présenté à Berlin, Nyon et aux RIDM, Jean-François Caissy nous force à ralentir et à prendre le temps d’observer nos aînés.
Au commencement, il y avait un lieu improbable: un motel converti en résidence pour personnes âgées, perché sur un cap en Gaspésie. "Il y a quatre ans, alors que ma grand-mère venait d’y emménager à la suite du décès de mon grand-père, je suis allé lui rendre visite, se rappelle le réalisateur Jean-François Caissy. J’ai tout de suite été interpellé par l’endroit, par ses qualités cinématographiques et par le temps qui semblait s’être arrêté. Je trouvais aussi particulier qu’un ancien lieu de passage pour routiers devienne la dernière demeure de ces nouveaux résidents."
Formellement, l’élément qui distingue le plus le film de Caissy est son rythme, qui adopte la lenteur propre au mode de vie des gens âgés qui peuplent l’écran. "Je pense que chaque sujet impose son propre rythme, estime le documentariste. Dans le cas de La belle visite, il me semblait indispensable de travailler sur la durée des plans afin de transposer avec le plus de justesse et d’impact la vieillesse. Je crois que c’est aussi une question de respect envers les gens filmés: on doit s’adapter à eux et non l’inverse."
Afin de ne pas imposer un seul mode de lecture, le cinéaste a choisi de n’ajouter ni narration ni musique à La belle visite. "Je voulais plutôt placer le spectateur au milieu d’un univers à explorer. C’est pour cette même raison que je n’ai pas tenté de faire le portrait des résidents de l’auberge en dévoilant trop de détails sur leur vie personnelle. Je voulais plutôt faire un portrait plus général de nos aînés. Le spectateur peut ainsi plus facilement ramener le film à sa propre expérience."
Si la présence de Caissy est imperceptible dans le film, ce dernier adoptant un rôle d’observateur invisible, des liens se sont tout de même forgés entre les personnages de La belle visite et lui pendant le tournage. "Il est impossible d’entrer dans l’intimité des gens avec une caméra sans avoir une vraie relation de confiance. On a tourné le film sur deux ans, à intervalles d’une semaine de tournage tous les trois mois. Nous étions seulement deux, moi et Nicolas Canniccioni, mon directeur photo. On passait la majeure partie de notre temps à écouter des soaps américains avec eux, à jouer aux cartes, à discuter de tout et de rien. On a même passé un jour de l’An là-bas à manger des crottes de fromage et des petits gâteaux Vachon, un beau moment! À la fin de chaque semaine de tournage, c’était les adieux touchants; on était d’une certaine manière aussi de la belle visite", conclut le cinéaste.
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LA PETITE FILLE QUI AIMAIT TROP LES ALLUMETTES de Simon Lavoie : À feu et à sang
Librement adapté du roman de Gaétan Soucy, La petite fille qui aimait trop les allumettes nous plonge immédiatement dans une proposition audacieuse, plus près de la fantaisie onirique/cauchemardesque que du récit conventionnel. Une vieille maison en pierres à la campagne. Un homme qui boit, une corde sur la table devant lui. Des enfants — une fille et un garçon. L’homme monte à l’étage avec sa corde, met un disque sur le gramophone, se dénude. La fille sort dehors, se couche dans les herbes. Bien que de la jolie musique classique emplisse la trame sonore, un sentiment d’inquiétude s’installe. Puis vient le son fatidique de la corde qui se tend, la fille s’évanouit, et on coupe au titre qui s’affiche à l’écran.
En une seule scène, sans dialogues, le scénariste et réalisateur Simon Lavoie crée un climat intrigant, atmosphérique, troublant, sensuel, glauque. On désire dès lors désespérément découvrir ce que cachent les 100 minutes suivantes de son film. Retour en arrière. Un homme maladivement religieux et alcoolique (Jean-François Casabonne, intense) vit dans l’isolement avec son fils (Antoine L’Écuyer, ténébreux), sa fille (Marine Johnson, hallucinante) qu’il élève aussi comme un garçon, quelques bêtes... et le « juste châtiment ».
Candidat sérieux pour l’Iris de la meilleure direction photo, le film épate par les sublimes images en noir et blanc de Nicolas Canniccioni (déjà collaborateur de Lavoie sur Laurentie et Ceux qui font les révolutions à moitié n’ont fait que se creuser un tombeau), où des ombres dominantes dansent avec des éclats de lumière; des images tournées dans des décors et sous des cieux magnifiques qui contrastent avec le caractère infiniment sombre de l’histoire. Tour à tour posée et urgente, la mise en scène de Lavoie nous place près des personnages et nous fait vivre une foule d’émotions, presque toujours davantage visuellement que via les paroles échangées. Une mention particulière à la musique brillamment anxiogène d’Ivo Bláha, utilisée avec parcimonie.
Comme Le problème d’infiltration et Les Affamés plus tôt cette année, La petite fille qui aimait trop les allumettes confirme que le cinéma québécois peut oser l’étrangeté, le fantastique, le surréalisme, l’horreur. C’est une œuvre immensément maîtrisée sur la folie des hommes et l’émancipation d’une jeune fille. Un long métrage débordant de moments mémorables — probablement plus que tout cette scène déchirante où la jeune fille passe la nuit avec le « diable dans le caveau ». Assurément un des meilleurs films de l’année.
La petite fille qui aimait trop les allumettes prendra l’affiche ce vendredi 3 novembre.
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